Nos définitions :

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Logique d'intégration : 

 

On prépare l'enfant afin qu'il puisse suivre dans l'enseignement "ordinaire", tant scolairement que socialement. Le travail est donc fait en amont. L'enfant/adolescent est accompagné par des intervenants extérieurs qui le suivent tout au long de sa scolarité. L'enfant/adolescent reste malgré tout "exclu" du groupe car l'enseignant à d'autres enfants à gérer et donc quand il n'y a pas d'intervenant, il est laissé de côté. De plus, sachant que celui-ci a des intervenants parfois les autres enfants ne comprennent pas ce qui l'exclu encore un peu plus. Dans l'intégration c'est l'enfant qui va s'adapter à l'enseignement et à l'enseignant grâce aux intervenants.

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Logique d'inclusion : 

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On ne différencie pas les élèves à besoins spécifiques des autres enfants. Ici c'est l'enseignement et l'équipe éducative qui s'adaptent à l'enfant afin qu'il puisse être inclus dans le groupe classe et dans l'établissement. Les aménagements nécessaires seront fait afin de lui faciliter l'accès aux apprentissages. Le but dans l'inclusion est un vivre ensemble afin de permettre l'acceptation de tous pour leur offrir une autonomie égale. 

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La différence majeur : Dans l'inclusion, c'est la société qui s'adapte or que dans l'intégration c'est la personne en situation de handicap qui doit s'adapter afin d'être dans la norme.

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Dans le cadre de ce cours, nous avons dû répondre à la question « La haute école de Defré est-elle adaptée pour une personne à mobilité réduite ou déficience visuelle ? »

Nous avons choisi de nous concentrer sur les adaptations à faire pour une personne à mobilité réduite qui se déplace en fauteuil électrique.