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  1. Débat éthique autour de la RITALINE®

Questions éthiques et déonthologique

Réflexions 

Ce sujet, abordé lors du cours, est l'un des plus sensibles du moment. Ce qui me questionne est que beaucoup de personnes pensent que ce médicament est une drogue. 

 

Pour moi, pour qu'un médicament soit une "drogue", il doit créer une dépendance et que si on l'arrête, il y ait un manque.  C'est un vrai débat dans notre société car il est vrai que c'est devenu presque normal de penser à le donner dès qu'un enfant bouge un peu trop. Et je suis d'accord certains médecins donnent très facilement ce médicament mais je pense aussi que si l'enfant est bien diagnostiqué TDA/H et que ce médicament fonctionne pourquoi pas le donner. Après, évidemment si celui-ci ne convient pas à l'enfant, je conseillerais de l'arrêter directement. Je parle en connaissance de cause, ma maman avait un enfant TDA/H en classe et lorsqu'il ne prenait pas son médicament on ne savait vraiment rien obtenir de lui. Avec du recul, je me dit que si il y avait eu une orthopédagogue sur place pour les aider, la prise de médicament aurait été diminué. 

L'inconvénient est que bien trop souvent, il est mal dosé ou l'enfant oublie ou ne veut pas le prendre. Car la prise est toute les 4 heures et son effet, qui permet à l'enfant de se concentrer et non de se calmer, n'est pas très longue (1heure). 

Il excite d'autres alternatives à ce médicament :

- le concerta : cela reste un médicament mais sa prise se fait au matin mais si on oubli on ne peut pas le prendre . c'est à heure fixe. Il y a un peu moins d'effet secondaire comparé à la Rilatine.

- Les fleurs de Bach

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