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Déficience motrice

Analyse reflexive

Lors de ce cours, nous avons parlé des IMC. Je connaissais déjà le terme mais l’associais surtout au polyhandicap. Mes premières impressions étaient que ce « type de handicap » ne m’attirait pas. Grâce au cours, j’ai découvert son origine qui est donc une lésion cérébrale anténatale ou prénatale qui a pour conséquence des difficultés motrices. J’ai donc appris qu’il y a plusieurs troubles moteurs : des paralysies (complètes ou partielles), des mouvements anormaux (dyskinésie), des troubles de l’équilibre (Akinésie). Il peut y avoir parfois des troubles cognitifs associés. 

 

Ce trouble reste malgré tout pour moi un de ceux avec lequel j’ai encore très peur de travailler car, durant le cours « d’aspect clinique », nous l’avons abordé et Denis Verda nous a expliqué les exercices qu’il pratiquait avec ses patients. Personnellement, j’ai encore cette impression qu’on leur fait mal (ce qui est le cas) même si je sais que c’est pour leur bien. Ce cours m’a permis d’avoir un autre regard sur ce trouble et je ne me dirais jamais que des personnes atteintes d’IMC sont incapables ou qu’on ne peut rien faire avec elles. 

 

Durant ce cours, nous avons eu beaucoup de théorie très complète appuyée par des vidéos intéressantes malgré leur ancienneté.     Cependant, je trouvais que, par rapport aux autres, cours il manquait de pratique, de mises en situations et d’intervenants. C’est pour cela, je pense, que ce trouble me parle moins que les autres et que mes craintes restent.

 

J’ai beaucoup apprécié l’utilisation des termes exacts car je pense qu’en tant qu’orthopédagogue, nous confrontés à des médecins ou personnes du domaine paramédical qui utiliseront ce type de langage précis. Enfin, ce cours m’a permis de réaliser correctement un petit exercice pour le cours de sociologie. Je devais pouvoir dire quels aménagements faire et à quel degré. Il nous fallait pour cela être conscients de ce qu’était ce handicap et ce cours m’y a aidé. 

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